Eva

Eva

Je m’appelle Eva. Je suis la gérante du bar à pizza La Belle Equipe rue Dansaert. Depuis 10 ans j’y fais découvrir de la cuisine avec des produits et des ingrédients nobles. C’est la curiosité tout autant que le soutien que j’apporte aux actions menées par Les chercheurs d’air qui m’ont motivée à rejoindre cette campagne. Je trouve que la rue Dansaert, juste avant le pont qui traverse le canal, est très fréquentée par les voitures, sûrement trop fréquentée, ce qui engendre bruit et pollution.


Elena

Elena

Je m’appelle Elena.  Je suis belge. Je suis née et je vis dans cette belle ville qu’est Bruxelles. J’ai une formation en informatique et je travaille à la STIB (précédemment infrabel) en tant que Project Manager depuis 7 ans, un long parcours dans les transports en commun. Quand j’ai du temps libre je pars pour de longues balades avec mon conjoint et mon chien et j’en profite pour prendre des photos du paysage, de la faune et de la flore. A Bruxelles je me déplace principalement à pied, en vélo ou en transport en commun bien sûr. J’utilise aussi parfois la voiture quand j’en ai besoin. Je me suis proposée pour rejoindre la campagne des Chercheurs d’air parce que j’aimerais rendre visible la pollution de l’air, montrer la responsabilité du trafic routier et obtenir des mesures claires et précises pour pouvoir respirer un air de meilleure qualité.


Dorotha & Vincent

Dorotha & Vincent

Je m’appelle Dorotha, j’habite à Bruxelles depuis 57 ans. Je suis enseignante à l’école Saint-Michel à Etterbeek. Avec mon ami et collègue Vincent nous avons été inspirés et enthousiasmés par la belle initiative des Chercheurs d’air ! Une enquête citoyenne et collective comme celle-ci permet aux citoyens de s’emparer du débat sur la qualité de l’air à Bruxelles, de prendre la parole. Respirer un air de qualité est un droit fondamental auquel tous les citadins devraient pouvoir avoir accès.


David

David

Je m’appelle David. Avec ma femme et nos deux enfants nous formons une famille multiculturelle sur le chemin du changement pour contribuer à une planète en meilleure santé. Si pas maintenant, quand? Rejoindre cette campagne des Chercheurs d’air était pour nous l’occasion d’être actifs à notre échelle en participant à la recherche sur nos habitudes urbaines et en définissant un plan d’action pour lutter efficacement contre la pollution de l’air.


Chloé

Chloé

Je m’appelle Chloé. Je suis une Bruxelloise engagée dans la transition pour une société plus durable. Je lutte à mon échelle contre la pollution, le changement climatique et la perte de la biodiversité. Je suis toujours prête à motiver d’autres personnes à agir aussi à leur échelle. Mélomane aimant danser, j’apprécie tout autant le calme de la  Forêt de Soignes ou des montagnes. J’adore aussi rouler à vélo dans les rues de Bruxelles, de préférence les cheveux au vent. La pollution de l’air est un sujet qui me préoccupe depuis longtemps. C’est un énorme problème sanitaire dans les villes, principalement en raison du trafic motorisé. L’ennui est que la pollution reste invisible à l’œil nu. Pour lutter efficacement contre ce fléau, il faut disposer de données, les documenter et rassembler tout cela sous forme d’une politique ambitieuse qui rend le problème et les solutions visibles. C’est pour cette raison que j’ai décidé de participer à la campagne des Chercheurs d’air.


Chloé & Luca

Chloé & Luca

Je m’appelle Chloé. Avec mon fils Luca nous formons un duo créatif : nous sommes tous les deux peintres. Nous sommes aussi sensibilisés à l’environnement. Nous avons récemment participé, ensemble, à la marche pour le climat, nous partageons une démarche zéro déchet et nous essayons de diminuer notre empreinte carbone. Ce qui nous a motivé à rejoindre le projet des Chercheurs d’air est le fait de pouvoir poser un acte concret, de pouvoir se sentir acteur vers un mieux vivre dans une ville où l’air pur ne devrait pas être qu’une illusion. Nous espérons sincèrement que, suite à la publication des résultats, des mesures fortes seront prises pour lutter contre la pollution de l’air à Bruxelles.


Arnaud

Arnaud

Je m’appelle Arnaud. Je suis Belge depuis toujours et Bruxellois depuis xxx. Mon travail est de venir en aide aux porteurs de projets en agriculture urbaine Le reste de mon temps je le dédie à mes enfants. Notre famille a subi une pollution chronique pendant une longue période sans que personne, ni organismes ni services publics, n’intervienne. Pour nous, participer à la campagne des Chercheurs d’air était une manière de compenser cette absence d’aide, de reprendre une forme d’emprise sur la qualité de l’air que nous respirons. Si les résultats sont mauvais nous espérons que nos élus réagiront !


Anne-Marie

Anne-Marie

Je m’appelle Anne-Marie. En quête de sens, j’habite à Bruxelles depuis 2007 où je soutiens la croissance de start-ups apportant des solutions technologiques aux secteurs agricole et alimentaire. Je voulais contribuer à ce projet des Chercheurs d’air pour permettre une objectivation du problème de la qualité de l’air à Bruxelles. J’espère que les résultats déboucheront sur des actions concrètes et efficaces, et entre autres  sur une amélioration de la situation pour les usagers de l’espace public.


Annelies

Annelies

Ik ben Annelies, ingeweken Brusselaar en radiomaker. Ik loop, wandel en fiets graag in Brussel. Meten is weten. Gezonde lucht is belangrijk voor onze gezondheid. Ik wil dat mijn dochter gezond en wel opgroeit in Brussel. 


Anne

Anne

Je m’appelle Anne. Je vis à Bruxelles depuis 3 ans. Je suis sculptrice. Je fabrique des objets en réutilisant des objets jetés comme des jouets cassés ou de vieilles assiettes. J’aime aussi beaucoup me promener et voyager. Tous les jours je balaie ma chambre, tous les jours un petit tas noir se forme. L’évier de ma salle de bain devient noir si je ne l’utilise pas pendant une semaine. Juste pour voir, j’ai laissé un seau d’eau près de la fenêtre et après une semaine on pouvait voir une tâche d’huile arc-en-ciel à la surface. J’ai participé au projet des Chercheurs d’air parce que, suite à ces quelques expériences, je voulais savoir ce que je respirais vraiment.